La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1171)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1160) -
Je compris alors que j'avais encore tant de choses à apprendre !
Les jours passaient... La vie s'organisait... Le Maître avait fixé Ses Règles et Il les appliquait à Sa Façon, toujours la même, inflexible. J'y avais trouvé un équilibre jamais atteint auparavant. Je me sentais enfin à ma vraie place, dans mon état naturel et découvrais que cet équilibre mental qui, sans men rendre compte jadis, mavait tant manqué. Cétait une forme de plénitude, un bien-être intérieur dêtre ce que la Nature avait fait de moi ... un esclave, un soumis, obéissant, subissant une correction au moindre écart ou signe de faiblesse dans mon engagement. Cependant, il y avait un domaine où je décevais encore Monsieur le Marquis, c'était dans mes résultats aux partiels et aux devoirs... Il avait fixé la note de 12 comme le minimum admis. Il m'accordait du temps pour travailler et réviser dans ce but. Mes seules autres activités, outre toujours être à Sa disposition sexuellement et D/sement consistaient à faire le ménage et la cuisine, ainsi que le service, et parfois à effec des recherches pour Ses Propres études. Mais malgré cela, je peinais à progresser, me maintenant à peine au-dessus de la moyenne. Je sentais que cette situation ne convenait pas au Maître et que tôt ou tard, j'allais en payer le prix. Mais je ne me doutais pas de la façon dont cela allait me tomber dessus.
Ce jour-là, nous avions cours en amphi et il y avait une copie à rendre dans cette matière pour laquelle j'avais assez peu d'intérêt et des résultats à l'avenant... Lorsque je passais devant le bureau du prof afin de déposer mon devoir, il m'interpella et me dit de l'attendre. C'était un homme d'assez petite taille, dégarni, avec de petites lunettes cerclées et une moustache poivre-sel. Il ne portait que des costumes gris, très bien coupés et ne se débarrassait jamais de son nud papillon.
- Nous allons aller dans mon bureau, nous serons plus tranquilles, me dit-il...
Sans ajouter un mot jusqu'à ce qu'il pousse la porte de son bureau, après avoir traversé celui de son secrétariat, vide à cet instant. Le bureau n'était pas très grand mais parfaitement rangé et impeccable. Il s'assit et je demeurai debout, face à lui, de l'autre côté du bureau. Sans mot dire, il ouvrit un tiroir, en sortant une enveloppe qu'il me tendit. Je remarquai immédiatement sur le rabat, le sceau imprimé des Armoiries de la Noble Famille des Evans. Fébrilement, je déchirai le papier qui ne contenait qu'une feuille sur laquelle figurait une courte phrase :
- Fais tout ce qu'il t'ordonne. Signé Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans
- Est-ce clair ?, me lança la voix froide et méprisante du professeur qui tendait la main afin de récupérer le courrier...
- Parfaitement clair, Monsieur, lui répondis-je en rendant la feuille.
- Bien... Nous sommes très mécontents, le Maitre et Moi-même, malgré les efforts déployés, tu ne dépasses pas le 9 dans ma matière. C'est parfaitement inadmissible. Bien sûr, nous en avons parlé et il va falloir que tu fasses de réels efforts. Et nous allons t'y aider, me dit-il d'un ton froid avec un regard pervers, carnassier derrière ses lunettes cerclées
Ainsi ce professeur connaissait Le Noble, connaissait ma situation, mon état, mais je n'avais guère le temps de réfléchir à tout cela, car il ne cessait pas de parler. Ceci dit, ses propos méclairaient sur la relation évidente quil avait avec la Famille des Evans :
- Sache, petite salope, que je suis un vieil ami du père du Maitre qui te soumet, un ami de la famille de vieille date, dailleurs ! Cest dailleurs pour cette raison quEdouard, que jai vu dans son berceau, est venu faire ses études ici dans notre université
. En ce qui te concerne, j'ai toujours été un fervent adepte de l'Education anglaise, je suis convaincu que c'est la meilleure façon d'éduquer, même des sujets aussi médiocres que toi.
J'ouvrai les portes et découvris toute une série d'instruments, parfaitement rangés, tous plus inquiétants les uns que les autres...
- Prends la badine ! lança le professeur dont le titre se colorait soudain d'une toute autre teinte...
Je pris la fine badine en rotin, souple et brillante et refermai la porte du meuble; il se leva alors et s'approcha de moi, tendant la main afin que j'y dépose l'instrument, dont il apprécia la souplesse en la tordant légèrement... Il me montra alors son bureau débarrassé de tout encombrement.
- Quand tu auras lordre, tu te pencheras buste en avant sur ce bureau, cul nu. Mais avant je veux te montrer très clairement comment ici on corrige les chiens-cancres de ton espèce.
Alors il se dirigea vers une porte dérobée tout au fond de son bureau que je navais pas vu pour louvrir sur un large placard dont la porte était restée entrouverte légèrement. Il dit simplement :
- Sort de là, la chienne
Je fus aussi surpris que le jour où jétais allé chez le vétérinaire quand japerçu sortir de ce placard à balais, Joëlle tête baissée mais cependant elle était habillée. Ce qui me fit supposer, que cela ne faisait pas longtemps quelle était arrivée, que le professeur, à mon instar, lui ait certainement ordonné, peut être juste avant de commencer son cour, de venir à lissu de celui-ci dans son bureau et de se mettre dans ce placard, doù lentrebâillement de la porte... Elle avança jusqu'à un mètre du professeur avant de s'immobiliser. Il ne lui accorda même pas un regard mais claqua des doigts. Alors, chienne Joëlle dégrafa son chemisier et le laissa tomber, dévoilant une poitrine ferme et lourde, aux tétons épais, marrons et toujours annelés ... puis dans un silence absolu, elle fit glisser sa jupe sur le sol.
- Tu vois, dit le professeur cette chienne, que tu connais, a vite appris. Maintenant c'est une bonne petite putain, elle travaille bien ici et elle a de bonnes notes dans toutes les matières. Mais elle reste une esclave convaincue avant tout et elle sait comment m'apporter un peu de détente lorsque j'en ai besoin. Le Maître me la prête autant que je veux quand elle est ici dans luniversité ! Alors souvent entre deux cours, juse et de son corps de chienne
Il rit, dun rire pervers ... chienne Joëlle n'avait pas bougé, elle se tenait immobile, silencieuse, bien droite, les yeux baissés. Ses seins pointaient avec ses deux magnifiques anneaux aux tétons et je remarquai encore une fois que sa chatte était parfaitement épilée, laissant deviner le rose délicat de ses chairs les plus intimes. Le professeur s'approcha d'elle et passa sa main entre ses cuisses. Elle ne frémit même pas, se contentant d'écarter un peu plus les cuisses... Sa main fouillait la chatte de la femelle, j'imaginais ses doigts qui pénétraient en elle. Elle ne disait rien, se tenait docilement immobile malgré les doigts qui allaient et venaient. Finalement il retira ses doigts et les approcha de mon visage. Ils dégoulinaient de la mouille de Joëlle
- Lèche !, dit-il et j'obéis.
Il fourra ses doigts dans ma bouche et je léchai...
(A suivre
)
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